Voilà, notre modèle de respiration.
En abaissant la membrane du fond (le diaphragme), le ballon (poumon) se remplit d’air et en la remontant, le ballon se vide.
En abaissant la membrane du fond (le diaphragme), le ballon (poumon) se remplit d’air et en la remontant, le ballon se vide.
Expérience 1 (paul, baptiste et alix) composition de l'air que l'on expire.
si l'on souffle sur sa main, l'air est chaud: l'air inspiré c'est réchauffé au contact des poumons.
si l'on souffle sur la vitre, il y a de la buée : l'air expiré contient de la vapeur d'eau.
Nous avons allumé une bougie, puis nous l'avons recouverte d'un bocal. La flamme s'est éteinte en 10 secondes.
Nous avons rallumé la bougie, puis nous l'avons de nouveau recouverte du bocal mais cette fois si nous avions soufflé à plusieurs reprises dedans. La bougie s’éteint en 5 secondes.
Pur brûler la flamme à besoin d'oxygène, si la deuxième fois la bougie s'est éteinte plus vite c'est qu'il manque de l'oxygène dans l'air rejeté par les poumons. L'air inspiré contient plus d'oxygène que l'air expiré.
Nous avons pris une seringue et une paille.
Avec la seringue, nous avons aspiré de l'air et on l'a envoyé dans de l'eau de chaux. Il ne s'est rien passé.
Avec la paille, nous avons soufflé dans de l'eau de chaux. L'eau de chaux s'est troublée.
Conclusion : L'air qu'on inspire n'est pas le même que l'air qu'on expire.
Maintenant on sait que l'air que l'on expire contient du CO2 (dioxyde de carbone). C'est le CO2 qui trouble l'eau de chaux.
Expérience 3 (hugo, domitille) Mesurer sa capacité pulmonaire.
Dans un récipient contenant de l’eau, on met une bouteille pleine d’eau également et on la dispose à l’envers avec son bouchon.
Après avoir ôté le bouchon, on glisse dans la bouteille un tuyau.
ET ON SOUFFLE !!!! On vide complètement nos poumons...
La bouteille va se vider : L’air contenu dans nos poumons prend la place de l’eau
Enfin, on enlève la bouteille et on regarde la graduation.
Ainsi, nous avons pu mesurer la capacité pulmonaire de plusieurs camarades: à peu près 2 à 3 litres d’air.Coralie Coutarel
si l'on souffle sur sa main, l'air est chaud: l'air inspiré c'est réchauffé au contact des poumons.
si l'on souffle sur la vitre, il y a de la buée : l'air expiré contient de la vapeur d'eau.
Nous avons allumé une bougie, puis nous l'avons recouverte d'un bocal. La flamme s'est éteinte en 10 secondes.
Nous avons rallumé la bougie, puis nous l'avons de nouveau recouverte du bocal mais cette fois si nous avions soufflé à plusieurs reprises dedans. La bougie s’éteint en 5 secondes.
Pur brûler la flamme à besoin d'oxygène, si la deuxième fois la bougie s'est éteinte plus vite c'est qu'il manque de l'oxygène dans l'air rejeté par les poumons. L'air inspiré contient plus d'oxygène que l'air expiré.
Nous avons pris une seringue et une paille.
Avec la seringue, nous avons aspiré de l'air et on l'a envoyé dans de l'eau de chaux. Il ne s'est rien passé.
Avec la paille, nous avons soufflé dans de l'eau de chaux. L'eau de chaux s'est troublée.
Conclusion : L'air qu'on inspire n'est pas le même que l'air qu'on expire.
Maintenant on sait que l'air que l'on expire contient du CO2 (dioxyde de carbone). C'est le CO2 qui trouble l'eau de chaux.
Expérience 3 (hugo, domitille) Mesurer sa capacité pulmonaire.
Dans un récipient contenant de l’eau, on met une bouteille pleine d’eau également et on la dispose à l’envers avec son bouchon.
Après avoir ôté le bouchon, on glisse dans la bouteille un tuyau.
ET ON SOUFFLE !!!! On vide complètement nos poumons...
La bouteille va se vider : L’air contenu dans nos poumons prend la place de l’eau
Enfin, on enlève la bouteille et on regarde la graduation.
Ainsi, nous avons pu mesurer la capacité pulmonaire de plusieurs camarades: à peu près 2 à 3 litres d’air.Coralie Coutarel
Coeurs sensibles s'abstenir !!! Merci à Mr Pagny pour le matériel vivant !